BIENS DES SEIGNEURS DE MAUREGARD

 

La Seigneurie de Mauregard était sans doute la plus étendue de Saint Hilaire. Il est difficile de déterminer avec exactitude quelles sont les terres qui ont appartenues aux seigneurs de Mauregard. Au cours des siècles et au gré des acquisitions, successions, partages, … leurs biens ont fluctué ainsi que leurs droits seigneuriaux tant utiles qu’honorifiques.

Plusieurs documents nous donnent une description plus ou moins complète des biens composant la Seigneurie de Mauregard. Citons parmi les plus intéressants :

- la déclaration de rachat par François MALLET en 1527, premier document contenant un descriptif de la seigneurie mais très incomplet,

- l’aveu et dénombrement de 1638 par Magdeleine de MALLET,

- l’aveu et dénombrement de 1717 par René BARIL, tous trois conservés aux archives nationales et dont le contenu est rapporté dans la note du marquis de Beauchesne en 1893,

- le partage de 1745 des successions BARIL,

- la vente de 1764 par Jacques BARIL à Louis de VANSSAY (très détaillée)

- mais surtout, l’adjudication de 1699 à René BARIL qui est de loin la plus précise.

 

Ces documents permettent d’établir un descriptif assez précis de la seigneurie de Mauregard et de l’ensemble des droits desdits seigneurs dont la désignation suit :

1°) les terres, domaine et seigneurie de Mauregard comprenant :

- les droits de fuie et colombier à pigeons, de chasses, coutumes, fiefs, arrières fiefs, cens, rentes, et droits de justice seigneuriale attachés à cette seigneurie. En ce qui concerne les droits de justice, selon Bart des Boulais dans son « Recueil des Antiquitez du Perche » rédigé en 1613, le seigneur de Mauregard est cité comme possédant la haute justice de Mauregard. Information reprise par J F Pitard en 1877 et par le marquis de Beauchesne dans ses notes sur ladite seigneurie en 1893. Cependant, l’ensemble des documents et titres de propriété des XVIIème et XVIIIème consultés indiquent que les seigneurs de Mauregard ne détenaient que moyenne et basse justice sur leurs terres de Mauregard et Vorré. Ce n’est qu’au début du XVIIIème siècle et par l’application des Edits royaux de mars 1695 et avril 1702 que le seigneur de Mauregard s’est trouvé adjudicataire, conjointement avec celui de Pigeon, de la haute justice des paroisses de St Hilaire et St Sulpice à eux aliénée par sa majesté le Roi. Postérieurement ils prirent d’ailleurs le titre de coseigneur haut justicier de St Hilaire et St Sulpice. (1 et 3)

- tous les biens (appartenant de plein droit au seigneur de Mauregard en 1699) dont le dénombrement suit :

 un manoir seigneurial avec haute et basse cour sur lesquelles étaient plusieurs bâtiments (dont une partie était en ruine et le surplus déclaré dans une ruine prochaine dans l’adjudication de 1699), le tout fermé d’anciens fossés, jardins, vergers, garenne à connils (réserve à lapins), moulin banal à vent (renversé par la tempête de 1702), maison du meunier (également en ruine en 1699), bois, prés, herbages et terres labourables, le tout pour 40 arpents (env 28 ha 50) ;

 diverses terres labourables et en pré pour 42 arpents1/4 et 15 perches (env 30 ha 20) ;

 le petit étang à bonde de Mauregard pour 2 arpents ½ et 5 perches (env 1 ha 80) (étang en 1638, mais déclaré en pré en 1699) ;

le tout constituant la réserve seigneuriale pour environ 85 arpents soit plus de 60 ha sur les paroisses de St Hilaire et Villiers.

Vue aérienne –carte © IGN 2016 - avec superposition du plan cadastral de 1830 et de plans de 1699 pour reconstitution de la réserve seigneuriale (périmètre en blanc d’une superficie en réalité d’à peine 55 ha). Il y manque le petit étang et 2 prés de 3 ha 50 situés plus au nord-est et détachés de ce noyau.

 

2°) les terres, justices et fiefs dépendant à l’origine de l’ancien domaine de Mauregard, devenus fiefs mouvants relevant de ladite seigneurie (dont le seigneur de Mauregard conservait la propriété directe mais qui appartenaient en partie à des héritiers de ladite maison de Mauregard pour la propriété utile). Ces fiefs étaient soumis aux obligations vassaliques suivantes : foi et hommage, rachat, taille et cheval de service envers lesdits seigneurs.

Sur la paroisse de St Hilaire :

• le grand étang de Mauregard pour 7 arpents (env 5 ha - proche de l’ancien village du Petit Fresne) (étang en 1638 mais déclaré en pré en 1699) > attribué à Anne de Mallet cohéritière de Mauregard en 1643 puis à Louise de THIBOUST sa fille ;

• le fief noble et seigneurie de la Cour du Fresne avec basse justice (38 ha 70) > ayant appartenu aux représentants de Mr le marquis de la Frette (la famille Gruel de la Frette était sans doute devenue propriétaire de cette terre suite à alliance avec une héritière de Mauregard) puis ensuite à la famille Sarraude de la Charpentrie ;

• la terre de la Goulinière (emplacement actuel de St Jacques) > attribuée à Anne de Mallet cohéritière de Mauregard en 1643 puis à Antoine de Thiboust, sieur du Fresne son fils et échue à Marie Vidart des Boustières sa veuve. Cette dernière vendit ce fief en 1699 à Jean Baptiste Debray, sieur de la Brémondière en Moulicent -61-. Mais René Baril, seigneur de Mauregard, exerça son droit de retrait féodal pour reprendre cette terre qu’il revendit immédiatement aux religieuses de St François.

• le fief de la Blotterie > acquis avec les terres voisines de la Goulinière par les religieuses de St François (ensemble pour 52 ha 23) ;

• le fief noble de Fleuse qui devait sans doute bénéficier d’un droit de basse justice en tant que fief noble > ayant appartenu à Mr le Prince et Mme la Princesse de Guéméné (il ne peut s’agir que de la famille de Rohan-Guéméné – Guéméné sur Scorff, Morbihan - l’une des plus puissantes de Bretagne) ;

• le fief de Mousselée > échu en partage à Madeleine de Mallet cohéritière en 1643 ;

• la terre du Petit Frêne > échu en partage à Marguerite de Thiboust en 1685 ;

• les quatre fiefs de Fay > fiefs mouvants ayant appartenu à divers ;

• le fief de la Rivière > cédé à l’église collégiale de Toussaint ;

• le fief du bois Ridel (maintenant Bois Joli) > ayant appartenu à la famille Sarraude de la Charpentrie ;

• le fief de Bulo > ayant appartenu aux mêmes que ci-dessus ;

• les fiefs de la Genettrie ; de la Genettrie allias Mousselée ; du Petit Fresne allais > tous échus ou cédés à divers ;

Sur les paroisses de St Hilaire et Loisé :

• les deux fiefs de l’Epine ;

Sur les paroisses de Bubertré et St Hilaire:

• le fief du Bois Deshayes ;

Sur la paroisse de Villiers :

• les fiefs de la Metairie et de la Brêche ;

Sur les paroisses de Bazoches, La Mesnière, Boece, Courtoulain, et Courgeoût :

• les fiefs du Jarriay, des Hayes, les deux fiefs des Délits, le fief des Tertres dont la propriété directe fut cédée en échange en 1701 à Renée de Bonvoust, dame de Courgeoust ;

Sur la paroisse de Longny :

• le fief de la Broudière et le fief de la Goudière allias le Pissot qui s’étend sur Bizou.

 

3°) les fiefs, terres, biens et droits ne dépendant pas du domaine de Mauregard mais que les seigneurs de Mauregard devenus également seigneurs de Vorré, Loisé, Franvilliers et Feings possédaient en propriété fieffée ou non fieffée :

Sur la paroisse de St Hilaire :

 une maison à Ronel, des terres et plusieurs fiefs près du bourg de St Hilaire composant la seigneurie de St Hilaire appartenant aux seigneurs de Pigeon ;

• Le fief de Vitray (près de Ligni) ;

le tout dépendant de la seigneurie de Vorré acquises par les seigneurs de Mauregard en 1510. (article en préparation sur cette seigneurie de Vorré).

• La terre de la Bulardière cédée au seigneur de Pigeon.

Sur la paroisse de St Quentin de Blavoust :

• le fief des Larris appartenant au seigneur de Bellavilliers mais relevant de la seigneurie de Vorré.

Sur la paroisse de Feings :

• la seigneurie de Francvilliers ;

• les terres de Launay et du Boullay aux allouettes.

Sur la paroisse de St Jean de Mortagne :

• deux maisons à Mortagne

Sur la paroisse de Loisé :

• les terres de la seigneurie de Loisé ;

• le fief de la Fontenelle qui s’étend également sur St Hilaire.

 

4°) autres fiefs et terres, relevant d’autres seigneuries, dont les seigneurs de Mauregard avaient acquis la propriété directe, à charge pour lesdits seigneurs de Mauregard de reporter les aveux et déclarations de foi et hommage rendus par les vassaux de ses fiefs à ces autres seigneurs :

Biens relevant de la seigneurie de la Ventrouze :

• le fief de la Denillière ou Denisière sur St Hilaire ;

• les fiefs de la Simonière, de la Fortinière, de Boyères, de la Touche, de la Tourousdière, de Courteille, du Boisgirard, de la Haye Roger sur Villiers

Biens relevant de la seigneurie de Prulay (St Langis) :

• les fiefs de la Bigotière, de la Numerie, de Ligny sur St Hilaire.

Biens relevant de la seigneurie de Courteraye (St Aubin de Courteraie) :

• les fiefs du bas Rialin, Ligny, le Chatel, Bourdelais sur St Hilaire

• le fief de Nonantel sur Villiers

Biens relevant de la seigneurie de Courgeoust :

• les fiefs de la Jarretière et de la Coquelinière sur St Hilaire et Villiers

 Biens relevant de la seigneurie de Monpoullain (Bubertré) :

• le fief de la Massière sur Villiers

 Biens relevant de la seigneurie de Feillet (Le Mage) :

• le fief du Bas Chatelier sur Rémalard

 Biens relevant de la seigneurie de Lormoy et Beaumont ( La Mesnière) :

• les fiefs de la Saradinière, de la Gastine sur Villiers. (8)



MANOIR SEIGNEURIAL

puis

CHÂTEAU DU XIXème

Seule l’adjudication de 1699 nous donne une description précise de l’ancien manoir. Il y est ainsi décrit : " le manoir seigneurial dudit lieu à fossez, haute et basse court sur lesquelles courts sont appliquez plusieurs bastiment parties desquels sont ruinez et les autres dans une ruine très prochaine scavoir :

     -en la haute cour un grand corps de logis composé de deux chambres basses offices, deux chambres hauts cabinets et greniers, un escallier pour y monter, deux écuries ruinées, un fournil, un celier et quatre tours aux quatre coins de laditte court partie desquelles sont tombées ;

     - et en la basse court deux corps de logis servant à différents usages, un autre tout ruiné qui servoit de pressoir et cellier et un puy avec tout les héritages qui accompagnent et sont dans le circuit dudit manoir … » (8)

Comme on peut le voir dans ce descriptif, ce manoir était une petite maison forte avec tours et fossés. Il est difficile aujourd’hui de s’imaginer l’emplacement de celui-ci dont tout a disparu y compris les fossés. A ce sujet, nous ne savons pas quand il fut démoli et remplacé par le château actuel. En 1699, l’ensemble menaçait ruines. Le corps de logis a-t-il par la suite était restauré et maintenu habitable ? On peut le penser quoique ses propriétaires successifs au cours du XVIIIème siècle aient habité à Mortagne, tant la famille Baril que Louis de Vanssay et Jean Jacques Cottin de la Thuillerie.

Cependant, dans un courrier de 1770 adressé par Louis de Vanssay au généalogiste d’Hozier demeurant alors au château de Sérigny, il invitait ce dernier à le recevoir et à l’héberger à Mauregard à la belle saison. De même en 1784, J. J. Cottin de la Thuillerie s’était fait adresser des courriers à Mauregard.

Par ailleurs, les actes et documents des 18è et 19è siècles ne donnant pas une désignation complète de la demeure et se limitant à indiquer « manoir seigneurial  ou château », il n’est donc pas possible de déterminer la date précise de démolition de l’ancien château et de son remplacement par l’actuel à défaut de document nous en informant.

Selon certains chroniqueurs historiques, le château actuel a été bâti au 19ème siècle à la place de l’ancien.

En 1806, Jean Brad avait acheté le manoir pour seulement 6500 livres, ce qui correspondait à l’époque à peu près au prix d’une maison ordinaire. Ce faible prix laisse supposer qu’il n’était sans doute pas en très bon état.

Sur le plan de 1830 figurent le château et des bâtiments de l'actuelle ferme, ce qui démontre que leur construction est antérieure à cette date. La construction nouvelle pourrait donc dater du début du 19ème siècle à l’initiative de Jean Brad qui, semble-t-il, était assez fortuné. Il fût bienfaiteur de l’hôpital de Mortagne et contribua à l’achat de l’hôtel de ville de Mortagne.

Il est difficile de déterminer l’emplacement exact de l’ancien château. Cependant des plans succincts de 1699, comparés à ceux de 1830 et aux plans actuels me permet de supposer une implantation telle qu’elle figure sur le plan reproduit ci-après.

Vidéo emplacement de l'ancien manoir - 

Par la suite, la famille Ratel devenue propriétaire au milieu du 19ème siècle fût à l’origine d’importantes améliorations dans le château actuel.

 En 1858, le registre de la matrice cadastrale nous révèle qu’il a été l’objet d’importantes transformations. C’est à cette époque que fut construit à l’extrémité ouest, le bâtiment de service dénommé « chalet » qui n’existe plus aujourd’hui ayant été démoli au début du siècle.

En 1864 fût construite, avec les deniers de Angelina Hermet, belle-sœur de Xavier Ratel, la chapelle dédiée aux Saints Anges Gardiens qui se trouve dans la tour située à l’extrémité est du bâtiment. Celle-ci fut consacrée le 7 juin 1864 par Fabien Hy, curé de St Hilaire spécialement délégué à cet effet par Monseigneur Rousselet, Evêque de Sées, en présence du propriétaire Xavier RATEL, de son père Louis Ratel, occupant et maire de St Hilaire et de sa famille ainsi que de plusieurs autres curés de la région. Elle contenait une statue de la Vierge à l’Enfant du XVIème siècle cédée par le conseil de fabrique de l’église de St Hilaire, en mauvais état et restaurée par la famille Ratel. Elle fût donnée vers 1987 à l’abbaye de Saint Wandrille (76) où Michel Boëlle était moine et où elle porte le nom de Notre Dame du Val Dieu.

A l’invitation de Stanislas Ratel, Monseigneur Trégaro, successeur de Mgr Rousselet, vint visiter cette chapelle le 9 octobre 1895, et participa à un diner à Mauregard avec une vingtaine de convives dont les proches de la famille, quelques curés de la région et ses amis et voisins Mrs Des Chênes propriétaire du château de Bois Joli et Voisin propriétaire du château de La Gatine. Il nous reste même en souvenir le menu du diner que je vous laisse découvrir ci-dessous.



Menu

servi au diner lors de la visite de Mgr Trégaro,

 le tout accompagné, si l’on en croit la fiche des vins jointe, de plusieurs vins blancs essentiellement doux  et liquoreux :

Château Chalon (Jura),

Xérès et Montilla 1852 (Andalousie),

Marsala (Sicile),

Santorin (Grèce) …








Les connaissances techniques de Stanislas RATEL, ingénieur aux chemins de fer, (article en préparation sur cette personne) l’amenèrent à faire des aménagements, exceptionnels pour l’époque :    

 - une éolienne de grande hauteur (30 m) à la ferme pour y monter l’eau (le château n’en bénéficia pas) qui fut abattue vers 1970 ;

- le chauffage central au château (mais par souci d’hygiène, les chambres n’étaient pas chauffées),

-  un ascenseur à bras permettant à Mme Xavier RATEL, devenue impotente, d’accéder au premier étage et d’y suivre la messe par une loggia donnant sur la chapelle, au fond de sa chambre.(6)



    Diaporama du château, chapelle ...



Le domaine de Mauregard,

traversé de toutes parts, par les voies de communication

 

De  par son emplacement,  le domaine de Mauregard fut de tout temps traversé par des voies de communication qui, modernisme oblige, modifièrent considérablement l’environnement du château au cours des deux derniers siècles.

Déjà, en 1700, le domaine était traversé d’ouest en est par la grande route de Paris, voie de circulation importante entre l’ouest de la France et la capitale. Cette ancienne route d’Alençon à Paris passait à proximité du manoir ainsi que l’indiquent les plans joints à l’adjudication du domaine en 1699. Elle évitait ainsi le centre ville de Mortagne notamment aux marchands de bestiaux qui emmenaient leurs bœufs, veaux et autres animaux aux halles de Paris. A cette époque, le chemin de Mortagne à L’Aigle, partant du Pissot dans le bas de Mortagne, rejoignait la grande route de Paris au carrefour de « la dépouille » proche du hameau de Faye (très précisément maintenant à Maison Neuve). Selon l’abbé Fret (cf l’abbaye de la Grande Trappe), plusieurs voyageurs perdirent la vie où furent détroussés en cet endroit.

Vers 1800, fut ouverte une nouvelle route Alençon-Paris passant par Mortagne et les virages des Terres Noires pour rejoindre l’ancienne route près du lieu de la Jarretière. L’ancienne grande route prit  alors la dénomination de chemin aux bœufs ou des Gaillons à la Jarretière.

En 1847, fut ouverte l’actuelle route de Mortagne à L’Aigle passant entre les hameaux de l’Epine et La Fontenelle et traversant la partie ouest du domaine en remplacement de l’ancien chemin du Pissot à Maison Neuve (aujourd’hui devenu chemin d’exploitation agricole).

En 1881, après d’importants travaux, ouverture de la ligne de chemin de fer allant de Mortagne à Ste Gauburge qui traversait les bois de Mauregard et de Bois Joli de la Brèche au Châtel. Cette dernière ferma définitivement en 1953 et fut déclassée en1960.

En 1965, construction de la première déviation de la RN 12 évitant le centre de Mortagne et qui passait devant le château. Cette route, toujours existante, était parallèle au chemin aux bœufs qui lui, a disparu lors de la construction de la seconde déviation. Son tracé était sensiblement identique à l’ancienne grande route de Paris  qui existait déjà en 1700.

En 2001-2002, construction de la nouvelle déviation (ouverte en 2003) avec ses 4 voies qui traversent également le domaine d’ouest en est et passe derrière le château dont le propriétaire, à la suite de ces travaux, a dû refaire un chemin d’accès sortant sur l’ancienne déviation.


 Vidéo d'évolution des voies de communication (9)

 J.M.

Sources :

(1) SPHA – tome XIV – Notes sur la seigneurie de Mauregard – 1893 par le Marquis de Beauchesne

(3) AD 61 – série 14J1 – chartrier famille de Rohard

(6) archives communales – dossier Ratel-Boëlle (don d’Emmanuel Boëlle)

(8) AD 61 – série E – 1E548/1 – dossier Cottin de la Thuillerie, seigneurie de Mauregard

(9) Géoportail : cartes IGN ; Google : images DigitalGlobe

+ AD 61 : Fragments historiques sur le Perche (Pitard), L'Abbaye de la Grande Trappe (abbé Fret)


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